Contribution à la conception de la ligne artistique de l’environnement scénographie
Contribution à la définition d’un outil innovant d’accompagnement du visiteur
Préconisations en termes d’intégration d’rouvres dans le parcours permanent, les expositions temporaires, la Cité dans son ensemble et son environnement immédiat
Emmanuel Macron l’avait annoncé le 20 mars 2018 lors du sommet de la Francophonie : la France va rénover le château de Villers-Cotterêts pour y installer une Cité internationale de la langue française d’ici à 2022. Le gouvernement français veut réaménager ce lieu prestigieux pour en faire un pôle innovant de la francophonie.
PRODUCTION DÉLÉGUÉE : JULIE MIGUIRDITCHIAN CO-PRODUCTIONS : NOTORYOU, EDIS, CHRONIQUES PRODUCTION, CNC-DICRÉAM, FESTIVAL ON PARTENAIRES : VR ARLES FESTIVAL, INSTITUT FRANÇAIS AVEC LE SOUTIEN DE LA BOURSE ORANGE XR
« I will sleep when I’m dead ». Ces quelques mots que Jeanne Susplugas emprunte à Bon Jovi en disent long sur son travail, sur le cerveau et nos pensées si difficiles à dompter.
Grâce à la « techno-magie » de la réalité virtuelle, le visiteur plonge dans une boîte crânienne parmi neurones et synapses. Il se perd dans un labyrinthe infini et croise des « pensées » matérialisées par des dessins à l’allure de pictogrammes. C’est un face à face intime, quasi psychanalytique qui introduit une intensité et une expérience unique.
Le CAUE VAR et La Rue des arts, avec la collaboration du Conseil Départemental du Var et de la ville de Toulon, proposent l’exposition «ARCHILUMEN, Dialogue sensible entre lumière et architectures dans le Var» du 14 Sept. 2018 au 28 Déc. 2018 en centre-ville de Toulon.
Une façon d’inaugurer les Journées Européennes du Patrimoine et diverses animations offertes pour sensibiliser les publics à l’architecture.
Cette exposition est le fruit d’une commande passée par le CAUE VAR à Michel EISENLOHR photographe varois de renommée internationale. Son approche artistique révèle son interprétation du riche patrimoine bâti varois, quelles que soient sa typologie et son époque. Julie Miguirditchian, commissaire de l’exposition, a choisi 23 photos où la lumière donne corps et sens, matière et vie à des architectures diverses.
Ce travail de Michel EISENLOHR a donné lieu à un livret, avec des textes d’une auteure varoise, Lucile BORDES, composé par Véronique HOURS, architecte.
Toutes deux, sensibles à la relation « lumière & territoire » et à la sensibilisation des publics, offrent un écrin, un espace de réflexion et d’appropriation des images du photographe.
Des ateliers, des visites commentées et une séance cinéma plein air viendront compléter la médiation de l’exposition gratuitement.
Proposée dans la Rue des Arts, galerie à ciel ouvert, l’exposition dure 3 mois à compter des Journées Européenne du Patrimoine (14,15 et 16 septembre 2018).
Architecture et lumière, lumière et architecture, les deux sont indissociables.
Le Corbusier disait à ce propos « L’architecture est le jeu savant, correct et magnifique des volumes assemblés sous la lumière ».
Le Var, Département baigné de soleil, est un terrain d’expression exceptionnel pour révéler le dialogue entre architecture et lumière.
Le CAUE VAR a souhaité en témoigner à travers cette exposition et une offre de médiations.
Le CAUE VAR enrichit ici sa mission de sensibilisation des varois par des actions sensibles et culturelles, pour tous, tout au long de l’année, en complément de nos actions de promotion de la qualité architecturale et des conseils techniques des candidats à la construction et rénovation.
Au cours de l’été 2016, la plateforme RADAR a proposé au GRL[fr], par l’entremise de Julie Miguirditchian, d’imaginer un projet collaboratif à l’échelle urbaine à la croisée du street art et de la culture maker.
De cette rencontre est né le projet « Urban Letters » : Un Alphabet collaboratif composé d’éléments visuels collectés dans la ville.
Cette proposition invite les membres de la communauté RADAR à explorer et observer la ville sous un angle différent. L’idée étant d’extraire sous forme photographique des éléments d’architecture, des signaux, des formes diverses, … afin de constituer un alphabet urbain.
Ces éléments, soumis par le biais des réseaux sociaux Twitter et Instagram, sont fédérés, convertis sous forme de fichiers vectorisés et viennent enrichir un alphabet hétéroclite, disponible en ligne sur la plateforme RADAR.
A cette fin, les membres du GRL[fr] imaginent et conçoivent des outils permettant de capturer, d’isoler et d’extraire des éléments visuels repérés dans la ville pour ensuite les exploiter sous forme de lettres et les restituer sous des formes variées dans l’environnement urbain.
De cette première initiative ont découlé divers projets impliquant la communauté RADAR.
Deux workshops, accueillis dans les locaux de l’Atelier Draft, ont eu lieu dans le cadre du partenariat avec RADAR. L’objectif de ces deux workshops étant de fabriquer ou d’utiliser les outils DIY mis au point par le GRL[fr].
Exploration Urbaine Workshop #1
Une quinzaine de participants ont eu l’opportunité, lors de ce workshop, d’assembler et de customiser un appareil photo DIY conçu par le GRL[fr].
Au programme : soudure de composants électroniques, découpe et gravure laser, puis assemblage de l’appareil.
Munis de ces appareils, les participants ont alors pu partir à la chasse aux lettres en vue d’enrichir l’alphabet.
Letters Projecteur Workshop #2
Un mois plus tard, l’alphabet communautaire comportant alors une variété plus que suffisante de lettres, un second workshop a rassemblé une fois encore une quinzaine de personnes.
L’objectif étant cette fois de choisir des mots pour former la base d’un cadavre exquis.
Ces mots furent imprimés sous forme de diapositives à l’aide d’un logiciel conçu pour utiliser l’alphabet.
Ils ont ensuite été restitués dans la ville, durant une balade nocturne, à l’aide de projecteurs portatifs DIY, imaginés, fabriqués et assemblés au préalable par le GRL[fr]
Créée par l’artiste Yann Toma, sur une scénographie et un design de l’agence ARTEL, HUMAN ENERGY est la plus grande œuvre d’art participative jamais réalisée.
Mission : Direction artistique
Du 5 au 12 Décembre, la Tour Eiffel est devenue le signal de l’engagement artistique pour le changement climatique. L’artiste a invité les 75 millions de sportifs connectés à l’application Runtastic à donner leur propre énergie (calories) pour cette œuvre. Parallèlement, les chercheurs en mathématique de Dolfins Project ont permis de recycler tous les tweets réalisés pendant la COP21 puis de les dissocier en énergie positive et énergie négative : l’énergie positive a été retenue par l’artiste. Les deux types d’activités (sportives + cérébrales) ont permis d’alimenter directement le grand compteur de HUMAN ENERGY qui était disposé au premier étage de la Tour EIffel. Parallèlement à la comptabilisation mesurée en EA (Unités d’Energie Artistique), des mots emblématiques étaient affichés également, notamment le fameux « 1.5 DEGREES » qui a été repris dans le monde entier Cette oeuvre d’art monumentale a été labellisée COP21.
À l’origine, HUMAN ENERGY devait transformer chaque jour de 10h à minuit la Tour Eiffel en un générateur humain monumental diffusant l’énergie produite (Watt) sur place par près de 20 000 personnes par jour, ainsi que de l’Énergie Artistique en faveur de la révolution climatique. Chacun aurait du être invité à danser au son de sélections musicales conçues spécialement pour l’évènement, à pédaler sur des vélos générateurs d’énergie, à regarder des vidéos d’artistes et des films, à participer à des ateliers de fabrication et à des débats sur le rôle de l’art comme force motrice pour lutter contre le réchauffement climatique. Cela aurait du être une gigantesque batterie humaine, un village auto-suffisant énergétiquement avec terrains de sport, de vélo et de danse, salles d’exposition et fablabs sur art, design et environnement. Ce village aurait du s’animer grâce à VOUS! Des dizaines de milliers de visiteurs, incluant les leaders mondiaux, qui devaient participer à l’installation et des centaines de milliers d’autres qui devaient se connecter grâce à l’application HUMAN ENERGY. Le drame du 13 novembre en a décidé autrement mais a plus que jamais renforcé notre détermination.
Eiffel Tower in Paris at night
Eiffel Tower in Paris at night
Cet événement a fait partie en 2015 de la programmation culturelle officielle de la Ville de Paris pour la COP21. Production : Les Amis de Ouest-Lumière. Partenaires: SETE, Toits vivants, Sport-Santé (FFEPGV), JCDecaux, Infoclip, EPITA, Eolie, Evesa, CAPSA, Layher, Rockwool, EY, la région Ile-de-France.
Client : SFR Agence : Prodeo
Production : Digitalarti Lieu : Studio et Appart SFR. Paris 8ème Dates : 16 novembre – 2 décembre 2010
Mission : Conception éditoriale, Programmation des installations et innovations & Direction de production
Véritable temps fort annuel des mondes numériques, SFR PLAYER proposait à ses publics de se synchroniser avec les dernières innovations et technologies émergentes qui changeront leur vie numérique demain.
Du 16 novembre au 2 décembre, cette nouvelle édition de l’événement proposait de découvrir et prendre en main des innovations dans de nombreux univers : internet, applications, écrans, objets connectés et design interactif.
Sur 300 m2, SFR PLAYER proposait, dans le cadre exceptionnel de l’Appart SFR , de participer à une trentaine d’expériences. Autour de 3 thématiques : interaction, perception, transmission, le visiteur découvrit de nombreuses innovations d’aujourd’hui et demain. SFR proposait un point de vue plus large des mondes numériques.
Une sélection, réalisée par Julie Miguirditchian pour le compte de Digitalarti, d’œuvres d’art numériques interactives, de design interactif et d’objets connectés, présentés pour la plupart en exclusivité, venaient ponctuer la visite.
Au programme :
Des installations intéractives internationales : Messa di voce de Golan Levin, les expériences sonores et planétaires de Locus Sonus, Shadow Monster de Philip Worthington
Production : Digitalarti
Commissariat d’exposition et direction de production : Julie Miguirditchian
Commanditaire : Apsys
Livraison : Octobre 2017
Plus d’une quinzaine d’œuvres pérennes accompagnées de nombreuses innovations, seront produites puis installées entre 2015 et 2017 dans l’enceinte du futur centre commercial Muse, réalisé par l’architecte Jean Paul Viguier.
Situé en face du Centre Pompidou Metz, Muse adopte un positionnement artistique unique en faisant de son établissement un espace multi sensoriel, dynamique et sensible, pensé comme une véritable extension naturelle du centre Georges Pompidou.
Production : Julie Miguirditchian & SARL Ethique Etc…
Co-production Water light graffiti : Art2M
Artiste : Antonin Fourneau
Le RG Lab est un espace de divertissement où sont présentées les innovations digitales du tennis. Situé à l’entrée du court Suzanne-Lenglen, il est un passage incontournable pour tous les amateurs de tennis friand de nouvelles technologies et à la recherche de nouvelles expériences sensorielles.
En renouvelant son partenariat avec l’agence Auditoire sur cette nouvelle édition de Roland Garros, Julie Miguirditchian continuede promouvoir et de diffuser la création numérique auprès du grand public en dehors des circuits traditionnels liés à l’art et à la culture.
Présentation de deux Installations scénographiques du collectif Visual System dans le cadre du Festival Marsatac à la Friche de la Belle de Mai (Marseille).